F.A.Q.

Il n’y a pas de contre-indication à bénéficier du traitement UrgoTouch ® en étant mineure. Cependant, UrgoTouch ® ne doit pas être utilisé : chez la femme enceinte; chez la femme allaitante, au niveau de la région mammaire; chez les nourrissons et les enfants de moins de 2 ans. En l’absence de données cliniques, il n’est pas recommandé d’utiliser le système laser UrgoTouch ® chez l’enfant et l’adolescent.

UrgoTouch ® ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte mais peut-être utilisé en cas de césarienne.

Votre médecin vous indiquera le coût du traitement UrgoTouch ® lors de votre consultation.

Seul votre chirurgien pourra déterminer si la procédure UrgoTouch ® est adaptée à votre cas.

Le laser UrgoTouch ® peut être utilisé sur tous phototypes.

Le laser UrgoTouch ® est utilisé à la fin de l’opération après la suture.

Certains évènements indésirables non spécifiques, peuvent survenir, indépendamment du laser, après toute intervention chirurgicale au cours de laquelle une incision du tégument cutané est réalisée :

• tuméfaction, oedème, ecchymose,
• nécrose,
• désunion de suture,
• infection cutanée superficielle ou profonde
• douleur, prurit,
• saignement,
• hypo-pigmentation ou hyper-pigmentation de la cicatrice
• anomalies cicatricielles allant de la cicatrice inesthétique à la chéloïde.

Certains évènements indésirables locaux, spécifiques à l’usage de tout laser non ablatif, peuvent également être observés :

• oedème, lié à la vasodilatation induite par l’effet thermique du laser. Ce phénomène se résout spontanément en 2-3 jours.
• erythème, en rapport avec la vasodilatation des vaisseaux induite par l’effet thermique du laser. Il se résout également spontanément en moins de 5 jours.
• hyperpigmentation post-inflammatoire transitoire souvent due à une exposition solaire après traitement, elle peut être spontanée chez les phototypes foncés. La résolution survient habituellement en quelques semaines. La protection solaire est incontournable et des crèmes dépigmentantes peuvent être utilisées si nécessaire.

Aujourd’hui, plus de trois mille patients ont déjà bénéficié du laser UrgoTouch ®.

Il n’y a pas de contre-indication liée au type de peau.

Si la cicatrisation reste un phénomène aléatoire dont la qualité ne peut en aucun cas être garantie, le laser permet de vous donner toutes les chances d’avoir une plus belle cicatrice, grâce à la biomodulation cicatricielle qu’il induit. Son efficacité a été prouvée cliniquement grâce à une étude menée par le service de chirurgie plastique du Pr Casanaova au CHU la Conception à Marseille.

Le traitement UrgoTouch ® est court, il est réalisé en une seule fois au moment de l’intervention chirurgicale.

L’efficacité d’Urgotouch ® est cliniquement prouvée grâce à une étude menée par le service de chirurgie plastique du Pr Casanova au Centre Hospitalier Universitaire de Marseille.

Certains évènements indésirables non spécifiques, peuvent survenir, indépendamment du laser, après toute intervention chirurgicale au cours de laquelle une incision du tégument cutanée est réalisée :

• tuméfaction, oedème, ecchymose,
• nécrose,
• désunion de suture,
• infection cutanée superficielle ou profonde
• douleur, prurit,
• saignement,
• hypo-pigmentation ou hyper-pigmentation de la cicatrice
• anomalies cicatricielles allant de la cicatrice inesthétique à la chéloïde.

Certains évènements indésirables locaux, spécifiques à l’usage de tout laser non ablatif, peuvent également être observés :

• oedème, lié à la vasodilatation induite par l’effet thermique du laser. Ce phénomène se résout spontanément en 2-3 jours.
• erythème, en rapport avec la vasodilatation des vaisseaux induite par l’effet thermique du laser. Il se résout également spontanément en moins de 5 jours.
• hyperpigmentation post-inflammatoire transitoire souvent due à une exposition solaire après traitement, elle peut être spontanée chez les phototypes foncés. La résolution survient habituellement en quelques semaines. La protection solaire est incontournable et des crèmes dépigmentantes peuvent être utilisées si nécessaire.

Les soins de la cicatrice ne sont pas compliqués mais nécessitent une observance (suivi de la recommandation de votre médecin) dans la durée. C’est vrai pour le port de vêtements compressifs, l’application de pansements ou le massage avec une crème. Sans oublier la protection solaire qui est indispensable les 6 premiers mois.

Le laser ne laissera pas de marque durable sur la peau. Certains évènements indésirables locaux, spécifiques à l’usage de tout laser non ablatif, peuvent être observés:
• oedème, lié à la vasodilatation induite par l’effet thermique du laser. Ce phénomène se résout spontanément en 2-3 jours.
• erythème, en rapport avec la vasodilatation des vaisseaux induite par l’effet thermique du laser. Il se résout également spontanément en moins de 5 jours.
• hyperpigmentation post-inflammatoire transitoire souvent due à une exposition solaire après traitement, elle peut être spontanée chez les phototypes foncés.
La résolution survient habituellement en quelques semaines. La protection solaire est incontournable et des crèmes dépigmentantes peuvent être utilisées si nécessaire.

Le traitement au laser se fera sous anesthésie car cette dernière sera nécessaire pour votre opération. Vous ne ressentirez rien.

La cicatrice évolue jusqu’à 18-24 mois après l’opération chirurgicale. Ça peut être plus long en cas de cicatrice hypertrophique ou chéloïde.

La cicatrice restera visible à vie. Le traitement au laser UrgoTouch ® permet de se donner toutes les chances pour avoir la plus belle cicatrice, sans pour autant la rendre invisible.

La cicatrice sera rouge, dure et boursouflée entre 3 et 6 mois, puis va commencer à blanchir et à s’assouplir pour atteindre son aspect définitif entre 18 et 24 mois.

D’abord, pas de tabac 6 à 8 semaines avant l’intervention et dans les semaines qui suivent. Les premières semaines, il est important d’éviter les mouvements trop amples, qui peuvent entraîner des traction sur la cicatrice : les vêtements de compressions et les pansements recommandés par votre médecin sont la 1ère mesure à prendre. Ensuite, il faudra bien hydrater et masser quotidiennement avec une crème et surtout protéger votre cicatrice du soleil par le port de vêtements ou l’application de crème protectrice (type SPF 50).

D’abord, pas de tabac avant et 8 semaines après l’intervention. Les premières semaines, il est important d’éviter les mouvements trop amples, qui peuvent entraîner des traction sur la cicatrice : les vêtements de compressions et les pansements recommandés par votre médecin sont la 1ère mesure à prendre. Ensuite, il faudra bien hydrater et masser quotidiennement avec une crème et surtout protéger votre cicatrice du soleil par le port de vêtements ou l’application de crème protectrice (type SPF 50).

Toute opération chirurgicale induit un risque (de l’anesthésie générale aux complications post opératoires, qui sont différentes en fonction du type d’intervention). Votre chirurgien sera le plus à même de vous en faire part, et vous en parlera nécessairement avant que vous ne décidiez à subir une intervention chirurgicale.

La technique chirurgicale et la cicatrice qui va en résulter seront des sujets abordés avec votre chirurgien lors de la consultation, avant l’intervention. Il y a un ensemble de critères à prendre en compte, tels que votre morphologie, les caractéristiques de votre peau, vos attentes en terme de galbe, de silhouette… et aussi la rançon cicatricielle qui pourrait résulter de différentes techniques opératoires.

D’abord, pas de tabac avant et 8 semaines après l’intervention. Les premières semaines, il est important d’éviter les mouvements trop amples, qui peuvent entraîner des tractions sur la cicatrice : les vêtements de compressions et les pansements recommandés par votre médecin sont la 1ère mesure à prendre. Ensuite, il faudra bien hydrater et masser quotidiennement avec une crème et surtout protéger votre cicatrice du soleil par le port de vêtements ou l’application de crème protectrice (type SPF 50).

Tout simplement en suivant bien les conseils de votre chirurgien et de l’anesthésiste.